Nathalie Baye, la mère de Laura Smet qu'elle a eu avec Johnny Hallyday, dément toute tentative de suicide de sa fille

L'actrice Nathalie Baye (G) et sa fille, l'actrice Laura Smet, le 17 octobre 2008 à Bougival

La mère Laura Smet, l'actrice Nathalie Baye, veut mettre fin aux rumeurs suite à l'hospitalisation en urgence de sa fille lundi 4 janvier. Dans un courrier adressé à l'Agence France Presse (AFP), elle affirme que "Laura n'a jamais tenté de mettre fin à ses jours".

"Je ne peux pas laisser dire, écrire, tant d'infamies, de bêtises, d'horreurs et de mensonges à propos de ma fille Laura Smet", explique l'actrice. "Laura n'a jamais tenté de mettre fin à ses jours". "Laura n'a laissé aucune lettre, mot chez elle à l'intention de sa famille", affirme-t-elle.

"Depuis le printemps dernier, elle  a tourné dans deux films qui l'ont rendue infiniment heureuse. Les événements récents qui ont frappé son père (Johnny Hallyday, ndlr) et toute cette presse autour l'ont beaucoup fragilisée. Laura est une jeune femme extrêmement sensible, encore fragile certes, mais avec aussi une grande joie de vivre", ajoute Nathalie Baye.

Lundi aux alentours de 14h30, la jeune actrice de 26 ans tombe inanimée en l'église Saint-Germain-des-Prés à Paris. Les pompiers interviennent et l'emmènent immédiatement à l'hôptal du Val-de-Grâce.

LCI.fr puis l'AFP indiquent dans l'après-midi de lundi que Laura Smet aurait fait une tentative de suicide en mélangeant alcool et médicaments. Une information démentie dans la soirée par l'agent artistique de l'actrice, Elisabeth Tanner.

Hier, mardi 5 janvier, c'était au tour du site PurePeople.com d'affirmer que la jeune femme avait laissé une lettre d'adieu à son père et une autre à sa maman. 
Des informations démenties aujourd'hui, mercredi, par la mère de l'actrice.

"Nous avons reçu énormément de signes de soutien et d'affection. Mais je demande que l'on cesse ce harcèlement médiatique, vulgaire et impitoyable, qui grossit, déforme tout et surtout qui ne respecte rien, particulièrement les personnes concernées", supplie encore l'actrice dans son courrier adressé à l'AFP.